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Les humains dans tout ça ? / What about the humans?

Updated: Sep 6, 2021

Image by GooKingSword from Pixabay

FRANÇAIS


D’où viennent tous ces humains sous la protection des Ancilians? Jadis, sur une planète très semblable à la Terre, vivait une population d’humanoïdes qui commençaient à peine à prendre conscience de leur existence dans l’univers. Une série de cataclysmes aux conséquences irréversibles annonçait la mort de leur monde. Gaia et Zébor qui étudiaient leur civilisation naissante ont décidé de les sauver. Le conseil des Ancilians a choisi de répartir cette race instinctive et coriace à travers la galaxie et de les mettre sous la protection des Bâtisseurs : Zébor, Gaia, Pator et Oria. Puisque les environnements ne permettaient pas la vie humaine, ils ont modifié leur code génétique en leur donnant les attributs pour survivre. Ils ont aussi demandé aux Pogenors de terraformer les planètes afin qu’elles favorisent leur évolution et civilisation.


Zébor et Gaia veillaient sur 3 peuples : ceux de Zéboria, de Terre et de Granita. Pator et Oria gardaient les trois autres : ceux d’Elgadir, d’Ornida et de Nuclus. Quelques milliards d’années plus tard, Bharmana et Nomaas, reçurent respectivement Granita et Nuclus. Granita, comme la Terre et Zéboria, était dotée d’un écosystème beaucoup plus proche de la planète originelle. Nomaas n’a pu caché très longtemps son envie de s’approprier Granita pour ses enfants. Voilà donc les prémices de l’univers des Ancilians. Dans ma première série, les humains doivent survivre les conflits entre ses jeunes Ancilians : Bharmana et Nomaas.


Image by d0ran from Pixabay

L’origine commune des humains et leur existence à travers la galaxie se présentent souvent dans les histoires de science-fiction. Nos rencontres du troisième type montrent que nous créons des extra-terrestres qui nous ressemblent. Ça fait partie de notre conscience collective de croire que nous ne sommes pas les seuls dans l’univers, même si les probabilités de trouver une autre civilisation semblable à la nôtre demeurent infinitésimales. Il est certain que différents environnements peuvent soutenir le développement de civilisations non humanoïdes. Imaginer leurs caractéristiques et ce qui leur permet d’évoluer est un exercice fascinant. Lorsqu’il est bien exécuté, il donne aux lecteurs l’envie que ces êtres viennent nous visiter - ou non, s’ils désirent nous assimiler !


En revanche, la forme humanoïde prodigue bien des avantages qui accroissent les chances de survie. Par exemple, le pouce opposé augmente la dextérité et la position debout libère les membres supérieurs. Il ne faut pas oublier que la thermorégulation nourrit un cerveau énergivore qui a développé des fonctions cognitives abstraites. L’évolution des humains suit une séquence de transformations qui ont permis aux individus les mieux adaptés (ou qui s’adaptaient le mieux) de survivre et de se reproduire.


Image by Suppenkasper from Pixabay

Imaginons la soupe primordiale dans laquelle des morceaux d’ADN se sont unis par des processus chimiques et énergétiques afin de créer la vie sur Terre. Comment alors croire que, dans tout l’univers, ces mêmes processus n’ont pas donné naissance à d’autres formes de vie ? L’évolution dépend grandement de l’environnement et des bouleversements planétaires.

Serions-nous humains si les dinosaures n’avaient pas subi une extinction massive ? À quoi la Terre ressemblerait-elle ? Quelles civilisations seraient nées ? Auraient prospérées ? Seraient mortes ? Ce sont des questions que je me pose lorsque je développe les races qui l’habitent l’univers des Ancilians.


Image by Rudy and Peter Skitterians from Pixabay

Mon devoir, en tant qu’écrivain, consiste à vous présenter un milieu plausible. Je dois connaitre tous les détails qui l’animent afin que vous puissiez vous évader. Derrière chaque mot, il y a toute une aventure, toute une vie, toute une évolution. Je me souviens les années scolaires durant lesquelles nous travaillions sur des compréhensions de texte. J’analysais facilement la grammaire, le style et la syntaxe. Je précisais l’émotion que m’apportait tel passage, mais lorsqu’on me demandait à quoi l’auteur pensait en l’écrivant, je restais perplexe ! Aujourd’hui, si je me pose la question : à quoi est-ce que je pense en décrivant un paysage ou un personnage ? Je réponds : je laisse les phrases s’évader sans les retenir. Les processus cognitifs se produisent surtout quand je n’écris pas. En fin de compte, ce à quoi je pense, ce sont les sensations que mes paragraphes engendrent chez les lecteurs, le rythme et le flot qui leur donnent envie de continuer à lire.


Votre devoir consiste donc à me dire si vous aimez ou non ce que vous lisez (blogue ou autres). Ne vous inquiétez pas, les critiques sont une phase importante du processus créatif, car elles me permettent de m’interroger sur mes théories et de m’améliorer.


La semaine prochaine, je parlerai des personnages clés d’un roman.


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et continuez la conversation !

Si vous désirez en lire plus, vous trouverez mon roman L’Enfant-Gardien 1: Améthyste sur amazon.fr

Bonne semaine!

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ENGLISH


What is the origin of the humans who are under the protection of the Ancilians? Long ago, on a planet similar to Earth, was living a population of humanoids who were barely conscious of their place in the universe. A series of catastrophic cataclysms foretold the death of their world. Gaia and Zebor who were studying their budding civilisation decided to save them. The Council of the Ancilians chose to spread this instinctive and sturdy race across the galaxy. To do so, they place them under the protection of the Builders: Zebor, Gaia, Pator and Oria. They modified their genetic codes to generate characteristics so humans could survive in their new environments. They also asked the Pogenors to terraform the planets to support their evolution and civilisations.


Zebor and Gaia were watching three people: those of Zeboria, Earth and Granita. Pator and Oria were given Elgadir, Ornida and Nuclus. A few billion years later, Bharmana and Nomaas, received Granita and Nuclus respectively. Granita, akin to Earth and Zeboria, had an ecosystem much closer to the birth planet. Very quickly, Nomaas stop hiding his desire to take Granita for his children. That’s the foundation of the universe of the Ancilians. In my first series, the humans must survive the conflict between the young Ancilians: Bharmana and Nomaas.


Image by d0ran from Pixabay

The common origins of humans and their presence across the galaxy often happen in science fiction stories. Our close encounters show that we create aliens that look like us. It’s part of our collective consciousness to believe that we’re not alone in the universe. Of course, the probability that we would find a civilisation similar to ours remains infinitely small. It is certain that various environments could sustain the development of

non-humanoid species. Imagining their characteristics and how they evolved becomes a fascinating exercise. When it’s executed well, it gives the readers the desire to meet them - or not if they’re planning to assimilate us!


However, the human shape provides advantages for survival. For example, the opposing thumb increases dexterity, standing empowers the upper limbs. As for thermoregulation, it enables the energy hungry brain to grow and develop abstract cognitive functions. Human evolution shows a sequence of transformations that gave the most adapted (or most adaptable) beings a better chance to survive and reproduce.


Image by Suppenkasper from Pixabay

Imagine the primordial soup in which DNA strands fused under chemical and energetic processes to create life on Earth. How can we believe that, in the whole universe, the same processes haven’t given birth to other life forms? Evolution depends greatly on the environment and the catastrophes. Would we be human if the dinosaurs hadn’t disappeared? What would the

Earth look like? Which civilisation would have risen? Have grown? Have died? These are questions I ask myself when I develop the races living in the universe of the Ancilians.


Image by Rudy and Peter Skitterians from Pixabay

My duty, as a writer, is to introduce a plausible world. I must know all the details so you can escape into it. Behind each word, there is an adventure, a life, an evolution. I remember my school years when we were studying novels. I would analyse the grammar, the style and the syntax. I could explain the feelings a sentence arose in me. However, when I was asked what the authors were thinking when they were writing, I was perplexed. Today, if I wonder: what do I think about when I’m composing a scene or describe a character? I answer: I let them escape, I don’t hold them back. The cognitive processes mostly happen when I don’t write. Ultimately, I want to generate emotions through the rhythm and the flow that drives the readers to enjoy the story.


Your duty is to tell me if you like or not what you read (my blogs or others). Don’t worry, it is most important in the creative process because criticisms allow me to question my hypothesis and improve.


Next week, I will discuss the key characters of a novel.


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My first English novel: War of Taar is coming in December 2021!

Have a great week!

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